9e édition de Rencontre verticale à la Cascade
tissus aériens et cordes lisses acrobatiques
encadrée par Fill de Block (l’Atelier du Trapèze)

Rencontrer – échanger – découvrir – improviser… Plus de trente acrobates aériens !!!

Rencontre professionnelle ouverte aux artistes aériens et aux élèves en formation, une occasion pour échanger, découvrir et pourquoi pas créer des prestations artistiques collectives !

Les sessions de pratique libre et d’échange
A l’issue d’une période d’échauffement, les participants sont invités à prendre possession du matériel mis à leur disposition (les points d’accroche pour l’essentiel) auxquels cordes et tissus personnels auront été fixés.
C’est à ce stade – tout au long des 3 matinées et 3 après-midi – que les artistes s’échangeront, par petits groupes improvisés, les trucs et astuces sinon les petits secrets de leur pratique personnelle.
En cela, la Rencontre verticale fait œuvre de pionnier.
Tous les artistes rêvent d’apprendre des autres. On découvre ainsi avec étonnement qu’il existe de multiples manières de développer telle ou telle figure. On s’aperçoit qu’une simple adaptation de son outil de travail (corde ou tissus) peut ouvrir des chemins artistiques nouveaux. Le meilleur professeur du monde ne parviendra jamais à rassembler, à lui-seul, tant de matière à enseigner en si peu de temps.

Les ateliers dirigés
Deux séances d’une heure chacune sont dédiées en soirée à un travail tout à fait particulier : la réalisation de figures et de mouvements, dirigée par l’initiateur de la Rencontre.
Ici, aucune improvisation ni formation de groupe par affinités. Il s’agit tout simplement d’effectuer des exercices divers par ensemble de 3, 4 ou 5 personnes dans un esprit de cohésion, l’accent étant placé sur l’harmonie dans le déroulement des figures proposées. Celles-ci seront alors analysées dans le détail et mises en évidence dans des aspects techniques et artistiques.
L’initiateur met en lumière ce qui fait la beauté, sinon l’efficacité de tel geste, et les « verticalistes » apportent leurs propres appréciations. Les échanges libres de la journée trouvent alors un écho différent et se muent en un travail plus profond, en une prise de conscience, de ce qui fait « l’art de se mouvoir à l’unisson ».
Jusqu’à 20 participants se voient ainsi parfois conviés à une chorégraphie commune dirigée, dont les mouvements se transforment en émotion vécue ensemble.